petit one-shot

Alors, g eut cette idée il ya pas lgt, et je voulais absolument l'écrire, c fait, et donc, je vous la poste, j'espère q'elle vous plaira... Merci de me laisser des coms!!!

MIGUEL
Miguel se baladait dans l’école, visitant ce lieu où il allait passer au moins deux ou trois ans, selon le contrat que sa mère obtiendrait. Il regardait à droit et à gauche en marchant dans l’allée, posant son regard d’un air blasé sur les bâtiments.
Il se dirigea vers le terrain de sport, et croisa un garçon brun qui était, croyait-il, dans sa classe. Celui-ci s’arrêta pour le saluer, et demanda :
-Au fait, c’est quoi, déjà, ton nom ? Le prof l’a dit, mais…
-Miguel Ferrero.
-Ferrero ? Comme les chocolats ?
-Oui, confirma le jeune homme avec un soupir profond, comme les chocolats, avec trois ‘r’, deux ‘e’, un ‘f’ et un ‘o’…
Puis il continua son petit tour, un peu plus sombre encore qu’avant.
Miguel Ferrero était un garçon de quinze ans, aux cheveux châtains et aux yeux verts. Plutôt grand pour son âge, il avait toujours eu un certain succès auprès des filles, ce qui ne l’empêchait pas pour autant d’être réservé, relativement timide, et de croire assez peu en ses propres capacités.
Sa mère travaillait pour l’Union Européenne dans la Coopération Africaine, aussi vivait-il à l’étranger. Il avait habité dans plusieurs pays africains, et venait d’arriver au lycée français de Lomé, au Togo. C’était le premier jour de classe.
Cette histoire de nom, il la connaissait depuis tout petit : dès que les enfants étaient capable de connaître une marque de chocolats, ils faisaient le rapprochement et lui posaient la question. Il en avait assez. Bien sûr, dès qu’il se faisait des amis, ceux-ci oubliaient cette histoire et se contentaient de ce qu’il était, mais à chaque fois qu’il changeait de pays, et c’était quand même régulier, ça recommençait… « Ferrero ? Comme les chocolats ? ». Et la réponse qu’il faisait, toujours la même : « Oui, comme les chocolats, avec trois ‘r’, deux ‘e’, un ‘f’ et un ‘o’. »…
Parfois, il avait envie de maudire son père de n’avoir pas voulu changer de nom… Mais évidemment, c’était compliqué… Et puis, son père était particulièrement fier de ce nom, et surtout de ce que ce nom signifiait, aujourd’hui, dans un certain milieu, pour vouloir en changer… D’ailleurs, c’est ce qu’il lui avait dit, la dernière fois qu’ils en avaient parlé : « Ecoute Miguel, je sais que c’est embêtant pour toi, mais songe à ce que j’ai fait ! Tes copains ne sont pas au courant, évidemment, ils n’étaient pas nés, mais j’était vraiment connu ! Et dans une certaine mesure, je le suis toujours… Ca se saurait si je changeais de nom, et personne ne comprendrait ! Moi aussi, quand j’étais jeune, on m’a posé cette question, mais il faut que tu en sois fier ! ».
Ouais, toujours le même baratin… On voyait bien que ce n’était pas lui qui subissait ces questions stupides… Ce soir, quand il rentrerait, il lui ferait la gueule, tiens, rien que pour le plaisir ! Et à sa mère aussi, puisque c’est à cause d’elle qu’ils avaient quitté l’Egypte… Saloperie de boulot ! Et puis, comme d’habitude, ils échangeraient tout les deux un regard faussement compréhensif et une peu exaspéré malgré tout, et Cristina, sa sœur peste de treize ans, allait murmurer : « crise d’adolescence ». Que dieu maudisse les sœurs, les mères au boulot chiant et les pères trop fiers d’un nom qui est une marque de chocolats !!!! Et que dieu maudisse aussi les marque de chocolats et les crétins qui peuplaient cette école, comme ça, tout le monde serait quitte !
Toujours en grommelant et en ressassant ses idées sombres, Miguel se retrouva devant le CDI, où il faillit entrer en collision avec une jolie blonde qui devait aussi être dans sa classe. Elle lui offrit un grand sourire et, voyant sa mine renfrognée, lui demanda :
-On est dans la même classe, non ? Tu t’appelles comment déjà ?
-Miguel. Miguel Ferrero.
-Oh !!!!!! Comme…
Miguel poussa un profond soupir qui lui coupa la parole. Si elle n’avait pas dit ça, elle aurait presque pu lui plaire… Pourquoi fallait-il toujours que les gens s’arrêtent à son nom ?
-Oui, comme le chocolat, avec trois ‘r’, deux ‘e’, un ‘f’ et un ‘o’, grommela-t-il sans la regarder, et commençant à partir.
-Non, ce n’est pas ce que je voulais dire… Le chocolat, je m’en fiche, ce que je voulais savoir, c’est si tu t’appelais comme le joueur de tennis ?
Estomaqué, Miguel s’arrêta net, et releva la tête pour la regarder, bouche bée. Personne, jamais, n’avait fait le lien avant. Même quand il disait qu’à cinquante ans à peine passés, son père était déjà à la retraite.
-Oui, parce que, le chocolat, tu vois… Ben, il est très bon, mais c’est pas vraiment une référence… Alors que ce que Juan Carlos Ferrero a fait dans sa carrière… C’est le plus grand joueur que je connaisse, même si ça fait longtemps qu’il ne joue plus… Gagner Roland Garros neuf fois dans sa carrière, dont huit fois d’affilée, c’est… Enfin, il n’y avait que lui pour le faire ! Mais… heu… Je me trompe peut-être ? Tu es de sa famille ou de celle du fabricant de chocolats ?
-Je suis son fils, dit Miguel en levant la tête et en la regardant droit dans les yeux. Mais il ne la voyait plus.
Pour la première fois de sa vie, il avait compris… Contrairement à ce qu’il avait toujours cru, le tennis était quand même quelque chose… Ce que son père y avait réussi était unique, et resterait dans la légende de ce sport, même si le roi de la terre battue ne jouait plus et avait été remplacé, tant dans la hiérarchie que sur le trône de Roland Garros. Et dans les cœurs des passionnés du tennis dont cette fille semblait faire partie, il serait toujours considéré comme l’un des tout meilleurs.
Alors, oui, Miguel comprenait. Il comprenait pourquoi son père était aussi fier de son nom, et le portait comme une banderole, il comprenait pourquoi il refusait de changer de nom, il comprenait pourquoi le chocolat ne le gênait pas, il comprenait ce que ce nom, pour certains, pouvait signifier, il comprenait que plus jamais il ne devrait en avoir assez de le porter, il comprenait, tout simplement, son père, ce qu’il était, et ce qu’il avait fait.
Non, ce soir, en rentrant chez lui, il ne leur ferait pas la gueule, au contraire. Ce soir, il allait raconter cette histoire, autour de la table, et il imaginait déjà, presque sans problèmes, le sourire que son père allait arborer, et le rire de sa mère en le voyant si content de lui. Bien sûr, sa sœur dirait que Miguel était amoureux… Mais il s’en fichait, aujourd’hui, ce qui comptait, c’est que pour une fois, on l’avait reconnu grâce à un palmarès en grand chelem, et pas à cause d’un nom sur une boîte de chocolats…
-Tu pourras me le présenter ? lui demanda la fille en le surprenant au beau milieu de ses pensées. J’ai toujours rêver de le rencontrer !
Miguel se tourna vers elle. Les yeux bruns brillants et les joues rouges, elle le regardait avec espoir. Il lui offrit un merveilleux sourire, et dit :
-Bien sûr ! Il en sera ravi ! Mais dis-moi, comment tu t’appelles ?

cest bien écrit et jme bien lhistoire aude mais g pas pigé si yavait une suute ou pas ?

Citation :

-Ferrero ? Comme les chocolats ?
-Oui, confirma le jeune homme avec un soupir profond, comme les chocolats, avec trois ‘r’, deux ‘e’, un ‘f’ et un ‘o’…

lol les chocolats on dirait ma famille au debut!!!!

Citation :

Plutôt grand pour son âge, il avait toujours eu un certain succès auprès des filles, ce qui ne l’empêchait pas pour autant d’être réservé, relativement timide

,
hum ça me rappelle qqn ça!!!

Citation :

Moi aussi, quand j’étais jeune, on m’a posé cette question

vous croyez qu'en espagne c'est aussi connu lol je vois bien juan repondr ela meme chose!!!!

Citation :

-Non, ce n’est pas ce que je voulais dire… Le chocolat, je m’en fiche, ce que je voulais savoir, c’est si tu t’appelais comme le joueur de tennis ?

bien une connaisseuse!!!

Citation :

Gagner Roland Garros neuf fois dans sa carrière, dont huit fois d’affilée, c’est… Enfin, il n’y avait que lui pour le faire !

faites qu'aude soit devin!!!!!!!!!!!

Citation :

Alors, oui, Miguel comprenait. Il comprenait pourquoi son père était aussi fier de son nom, et le portait comme une banderole, il comprenait pourquoi il refusait de changer de nom, il comprenait pourquoi le chocolat ne le gênait pas, il comprenait ce que ce nom, pour certains, pouvait signifier, il comprenait que plus jamais il ne devrait en avoir assez de le porter, il comprenait, tout simplement, son père, ce qu’il était, et ce qu’il avait fait.

je trouve ça trop beau aude!

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Citation :

Tu pourras me le présenter ?lui demanda la fille

lol elle perd pas le nord hum j'aurais pt fait pareil!!mdr

merci Solène!!!! lol, je suis contente, g réussi à te faire écrire un mess de + de 5 lignes... en ce qui concerne la carrière de Juan, crois-moi, j'epsère aussi être devin!!!!!!! Je me suis en partie inspirée de Juan pour le personnage de son fils, forcément, donc j'epsère bien q'il te rappelle qlq'un!!! lol!!!!! Et pour l'histoire des chocolats, moi aussi, c com ça q les gens q je connaissais on réagi au début, d'où en fiat l'idée de cette histoire... et puis, je me demandais comment réagiraient les enfants de Juan s'il en avait à ce genre de question et à ce q leur père a fait et/ou fera...
>>Emma, t sûre q tu veux pas me faire un com un peu plus large??? lol, tu m'avais habitué à mieux!!!! et non, y a pas de suite, c juste une histoire très courte, com tu peux le voir, j'avais cette idée dans la tête, donc...

pas de suite oh non!!!!meme si on insiste fortement!!!!!!!!!
je sais pas je m'imaginais un, pti truc entre miguel et la jeune fille genr eun gros dilem avec juan enfin bon oki je cogite trop!!!!

hé non, Solène, aps de suite, mm en insistant!! ou alors, il faudra être sacrément convaincante!!!!! paske je vois vraiment pas koi écrire de plus, et où cette histoire peut me mener... en histoire entre Miguel et la jeune fille et une rencontre avec Juan, c sûr, mé bon... pas gd intérêt à mon avis, et stt, assez inutile, je pense... imaginez par vous-même!!!! ou écrivez la suite si vous voulez, je vous vends les droits sans problème!!!!!

C'est excellent !!! Vraiment !
Il n'y a pas besoin de suite, c'est génial comme ça ! Je vois ce que tu as voulu transcrire, et c'est réussi !
Vraiment super ! Original, bien écrit, émouvant...

merci Maïlys!!!!!!!!!!!!!!! vraiment, je suis touchée!!! J'osais pas espérer q ça te plaise autant!!!! et merci de me soutenir, oui, pas besoin de suite... encore merci pour tes compliemnts!!!!!

Ben nan je suis sincère, et je sais que ça fait plaisir !
Je dois dire qu'au début je ne voyais pas où tu voulais en venir, j'ai été suprise ! Mais c'est super !

merciiiiiiiiiiiiiiiiiii!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! keske tu comprenais pas???????

Ben je me demandais vraiment où ça allait aller tout ça ! Je me disais qu'il ne se passait rien, et que quelque chose d'énorme allait arriver...

je viens juste de lire c'est trop bien!!!!

merci Math