Nouvelle fanfic

lol bah en tout cas je te remercie bcp c'est très gentil !!! mon dieu je suis gatée ds ttes les FF moi en tout cas c'est bizarre comment t'as su que j'avais les yeux verts?? lol. tu as msn?

Citation :

en tout cas c'est bizarre comment t'as su que j'avais les yeux verts?? lol.

C'est parce que j'ai lu d'autres fanfic et comme tu étais décrite avec des yeux verts... je me suis dit que ça devait être ça

Citation :

tu as msn?

Oui j'ai msn. (quand tu clik sur mon nom, tu as mon adresse dans le profil)

oui charlotte ( snoopy ) aussi a fait de la pub sur le site de tommy pour ce forum .

on attend la suite avec impatience ...

Voilà le chap 6. En espérant que ça vous plaira...

Chap 6 : Confidences entres amis


En se réveillant ce vendredi matin, Mathilde souriait. Pour la première fois, elle allait jouer la finale de ses rêves. Elle avait battu relativement facilement Elena Dementieva la veille et se rendait compte soudain que son rêve le plus cher était à portée de main. Un match se dit-elle, un seul tout petit match !
Elle pensait occuper sa journée de façon à ne pas ressentir la pression, ainsi elle avait prévu d’aller faire les magasins de la capitale et de flâner le long des rues.
En sortant de sa chambre, Mathilde tomba nez à nez avec Marat qui portait trois énormes sacs.
« Alors cette fois, tu t’en vas ? » demanda la jeune femme
« Oui il faut bien, je suis déjà éliminé depuis 3 jours. Je rentre à Moscou voir la famille »
« Alors bon voyage ! »
« Merci, et tu as plutôt intérét à gagner ! Sinon tu entendras parler de moi ! » dit Marat qui ajouta :
« Au fait, ta cousine est très sympa… »
« Oui, je l’adore. C’est bien qu’elle ait pu venir pour une fois ! ça tombait bien, avant qu’elle ne parte pour Madrid »
« Elle part à Madrid ! Toutes les mêmes alors ! » déclara le russe.
« Marat !!!! Tu n’as pas fini avec tes histoires de « complexe de l’espagnol »
« Pardon, je disais juste qu’elle était comme sa cousine… » répondit le jeune homme doucement.
« ça va, Marat, je ne suis pas complètement stupide ! ça se voit tant que ça ? »
« Bah,un peu oui. » dit-il d’un air désolé
« Mais tout le monde n’a pas mon sens de l’observation ! » ajouta-t-il pour détendre l’atmosphère.
« Bravo ! Tu peux entrer à la CIA ! » répondit Mathilde. Elle se disait qu’effectivement, le fait que son meilleur ami se soit aperçu de ses sentiments pour un ami commun, ne signifiait pas que tout le monde s’en était aperçu.
« Quoique… pour la CIA, je crois qu’il faut une autre qualité fondamentale : la discrétion ! » dit-elle.
« Oui, et tu sais je m’entraîne ! »
« Il faut aussi être plutôt adroit… et là c’est franchement pas gagné jeune homme ! »

En effet, la maladresse du russe restait un mystère aux yeux de Mathilde. Son ami si adroit sur le court, se transformait en dehors en la personne la plus malchanceuse et maladroite qu’elle n’ait jamais vu ! Combien de fois avait –t-elle vu son ami trébucher, se blesser, elle n’aurait su le dire. A Miami, il s’était carrément assommé en courant dans le couloir, il n’avait pas vu la baie vitrée et l’avait heurté de plein fouet. Plus généralement c’était toujours lui qui tombait sur la machine à café en panne ou autres petits inconvénients.

« Sérieusement, Mathilde, il y a un problème avec Tommy ? Je veux dire, pourquoi tu ne lui fais pas comprendre, ou pourquoi tu ne lui dis pas, surtout ? Car il faut reconnaître qu’il est un peu aveugle ce garçon… Il est le seul à ne pas savoir qu’il plait aux filles ! »
« C’est compliqué, et puis, tu l’as dit toi-même, je ne suis pas seule… »
« Arrête Mathilde, depuis quand n’as tu pas vu Tommy accompagné ? Et puis même si il y a des dizaines de filles qui n’attendent qu’un signe de lui, tu es la mieux ! »
« C’est gentil Marat mais je crois que tu n’es pas très objectif… » dit Mathilde.
Elle enchaîna :
« Je ne crois pas lui plaire, il m’aime bien certes, mais ça ne va pas plus loin. »
« S’il te plait Marat, reste discret, tu veux ? »
« Bien sur, miss, mais je ne te comprend pas très bien… »
« C’est sur que toi, tu préfère l’action ! » lui dit-elle avec un grand sourire
« Parfaitement madame ! Audrey, elle revient quand ? » demanda Marat avec un petit sourire charmeur.
« Dans deux semaines je crois… enfin pas si elle a rencontré un charmant espagnol… »
Marat espérait bien que non, que Audrey serait l’exception qui confirme la règle…


Mathilde, déposa les sacs provenant de grands magasins parisiens sur son lit. Toute la journée, elle n’avait cessé de penser à ce que lui avait dit Marat. Refusant de parler à Tommy, elle ne voyait pas d’issue possible… Mais elle devait essayer de ne plus y penser, même si cela semblait impossible. Demain, elle aurait d’autres préoccupations ! Mathilde avait hâte d’être à cette finale dont elle avait tant rêvé.

WOUAHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH
MAMAMIAAAAAAAAAAAA


C VLA BIEN

Citation :

A Miami, il s’était carrément assommé en courant dans le couloir, il n’avait pas vu la baie vitrée et l’avait heurté de plein fouet

ptdrrrrrrrrrrrrr j'étais morte de rire dvt mno écran avec ça

Citation :

« Bien sur, miss, mais je ne te comprend pas très bien… »
« C’est sur que toi, tu préfère l’action ! » lui dit-elle avec un grand sourire

j'ai ma petite idée sur la suite du chapitre par rapport à mathilde et tommy ms je n'en dis pas plus

Citation :

Mathilde avait hâte d’être à cette finale dont elle avait tant rêvé.

et dieu sait que meme envrai j'aimerai l'atteindre cette finale *dreams*

Citation :

A Miami, il s’était carrément assommé en courant dans le couloir, il n’avait pas vu la baie vitrée et l’avait heurté de plein fouet

Math Ferrero a écrit:

ptdrrrrrrrrrrrrr j'étais morte de rire dvt mno écran avec ça

C'es vrai que j'y suis allée un peu fort!! lol Pauv Marat !

ihih técris super bien a chaque fois que je lis on diréune accro

C'est super !!! Elle est contre qui ma Kiki en finale ??? (De toute manière je la soutiens na !!)

rho merci ma kiki lol

voilà la suite.....


Chap 7 : Un jour inoubliable

Le court central était comble pour assister à la finale dame en ce dimanche matin. La pluie étant tombée de façon ininterrompue la veille, la finale se déroulait en ce jour peu habituel, avant la finale messieurs opposant Guillermo Coria à Rafael Nadal.
Kim Clijters fut la première à entrer sur le court, suivie de Mathilde qui salua rapidement le public.
Dans la tribune des joueurs, elle aperçu son entraîneur, son frère Valentin, sa cousine Audrey, ainsi que ses amis Juan Carlos Ferrero et Carlos Moya qui étaient restés à Paris afin d’assister à ce match. Elle allait s’asseoir quelques secondes, avant le début de la partie, lorsque son regard fut attiré par un beau jeune homme brun qui lui adressait un petit signe…
« Sacré Tommy ! En retard, une fois de plus. » se dit Mathilde, heureuse qu’il soit à ses côtés pour cet évènement.

La jeune femme entra facilement dans le match et mena rapidement 4 jeux à 1. Mais Clijters revint à sa hauteur et Mathilde remporta finalement le premier set au jeu décisif : 7 points à 4. La Belge, loin de se décourager, hissa son niveau de jeu et remporta la seconde manche. Dans le clan français, le stress était perceptible. Le troisième set fut de toute beauté, et mérite certainement de rester dans les annales du tennis. Incapables de se départager, les deux joueuses étaient à égalité 7 jeux partout lorsque Mathilde prit le service de la joueuse belge. Elle servait pour le match à 8-7. Quatre minutes plus tard, le public se déchaîna, Kim Clijters avait débreaké en réalisant un jeu de retour phénoménal ! Les jeux défilèrent : 9-9, 10-9, une nouvelle fois égalité… jusqu’à 12-11 ! Mathilde avait de nouveau pris le service de son adversaire. Elle eut un regard pour son clan, croisa celui de Tommy. Cette fois, elle ne trembla pas, et conclut la partie sur sa première balle de match.
Le public exulta, les proches de Mathilde se congratulèrent, les larmes aux yeux. Mathilde les regarda et leur adressa un signe. Assise sur sa chaise, elle pleurait. Par respect pour Kim qu’elle aimait beaucoup, Mathilde n’osait aller voir ses proches dans la tribune. Soudain, la jeune belge, s’approcha et lui glissa quelques mots à l’oreille. Mathilde la remercia et se précipita vers la tribune des joueurs. Elle l’escalada sans difficulté et savoura avec ses proches cette victoire dont elle rêvait depuis de nombreuses années.

Des larmes roulaient encore sur ses joues lorsqu’elle entra en salle de presse. La conférence fut interminable et elle ne put assister à la finale du simple messieurs. Alors qu’elle sortait des vestiaires, terminant une conversation téléphonique avec Marat qui l’avait appelé pour la féliciter, elle vit sur un écran suspendu dans le couloir, Rafael Nadal soulevant la Coupe des Mousquetaires. Folle de joie, elle se mit à sautiller dans le couloir. Elle l’aimait tellement ce petit !
« Alors là, c’est sûr, je ne vais pas m’en remettre ! » déclara la jeune femme à ses amis qui l’entouraient.
Lorsque Rafael arriva, tout sourire, il se précipita dans les bras de Mathilde, qui était une des seules à savoir ce qu’il pouvait ressentir. Tandis qu’ils s’étreignaient, en pleurs, elle le vit. Tommy assistait à la scène, son regard était triste, il avait l’air déçu et semblait souffrir, il semblait presque jaloux. Alors, elle comprit. Et cela changeait tout. Il l’aimait.


Chap 8 : Un pas en avant ? Deux pas en arrière !


En marchant le long de la Seine, Mathilde ne cessait de revoir ce regard qui l’avait tant surprise. Elle ne pouvait s’empêcher d’être heureuse mais cela l’effrayait. Soudain, tout devenait réel. L’évolution de sa relation avec Tommy ne dépendait que d’elle. Et elle trouvait cela terrifiant.

Arrivée devant le restaurant où était organisée une petite soirée en son honneur et en celui de Rafael, elle se reprit et entra le sourire aux lèvres.
Au fond de la salle, était dressée une grande table autour de laquelle avaient pris place sa famille ainsi que celle de Rafael, son entraîneur, Juan Carlos Ferrero et Carlos Moya. Mathilde entendit la porte du restaurant claquer derrière elle. Tommy déclara :
« Je n’allais quand même pas te laisser arriver la dernière ! »
La jeune femme sourit en retour.
Le repas se déroula dans une ambiance joyeuse et détendue. Soudain, Carlos recula sa chaise pour lever son verre à sa grande amie Mathilde, et à son petit protégé Rafael. Son discours fut très applaudi, à côté de lui, émue, Mathilde pleurait.
Durant toute la soirée, elle ne put s’empêcher de regarder furtivement Tommy. Ce dernier se trouvait à la droite de Rafael qui était placé face à elle. Il surprit son regard et lui sourit, avant de baisser les yeux, géné.
La soirée se termina dans une boîte de nuit branchée de la capitale. Mathilde, Carlos et Tony Nadal se transformèrent en rois de la piste. Ils étaient totalement déchaînés !
Sur une banquette surplombant la piste de danse, Juan Carlos et Tommy, qui n’étaient pas très motivés pour danser, étaient en grande conversation.
Tout à coup, l’ambiance se fit plus douce… le DJ entamait sa série de slows. Mathilde alla inviter Rafael, sous le regard de Tommy, qui se dit que c’était bien sa faute , il n’avait qu’à se bouger un peu ! Même si danser n’était pas son fort…
Pourtant, en regardant la jeune femme danser avec son ami, il se dit qu’il ne savait pas trop comment il allait se sortir de cette histoire. Il n’avait décidemment aucune chance avec Mathilde. Elle était belle, drôle, généreuse et gentille. En y réfléchissant, il se dit qu’aucun homme de sa connaîssance n’aurait pas aimé l’avoir pour compagne. C’était un fait, tout le monde aimait Mathilde. Elle était totalement inaccessible. Il fallait qu’il s’y fasse. La chanson finie, la jeune femme vint s’asseoir à côté de lui et le regarda de ses beaux yeux verts, il en aurait pleuré.

vraiment je sais pas quoi dire j'adore !!!!!!!!!!!! t'écris trop bien je sais pas cmt tu fais pour trouver cette inspiration et enchainer les chaps comme ca ! t'es forte

Citation :

La chanson finie, la jeune femme vint s’asseoir à côté de lui et le regarda de ses beaux yeux verts, il en aurait pleuré.

mathilde tu te rends de la chance que t'as ? cmt j'aimerais trop étre a ta place mdr

marat est excellent lol je trouve que la facon dont tu le décris ( maladroit...) va bien avec son personnage. et j'espère que tommy et mathilde vont conclure ! lol suspens ....

encore chapeau je suis fan de ta fic

aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhh
jalousie extrème

mmmddrrr


ann allez cestsuper comme dhab !

jai tout lu d'un coup et c'est vraiment... super génial... C'et vrai que ya de quoi être jalouse... a quand la suite?? bravo en plus du fait que l'histoire soit très bien imaginée, t'as un style d'écriture fluide et très bien aussi... bravo!!!!

Merci, c'est super gentil. C'est la première fois que j'écris alors... j'avais peur que vous trouviez ça nul

Citation :

je sais pas cmt tu fais pour trouver cette inspiration et enchainer les chaps comme ca !

C’est vrai que là, je suis inspirée, j’arrive plus à m’arréter !
Mais je crois que si j’arrive à enchaîner les chapitres c’est parce que avant de commencer, j’avais déjà les évènements principaux, les personnages…
Après je n’ai plus qu’à relier le tout en décrivant…
En fait j’ai même déjà ma fin !! Mais suspense !! lol


En attendant je poste le chapitre 9:

Chap 9 : le mariage

Le samedi 4 juillet, après un tournoi de Wimbledon calamiteux pour Mathilde et ses amis espagnols, une fête se préparait.
« Alex ! Alex ! Tommy vient d’arriver » cria madame Corretja
« Maman, tante Julia a besoin de toi pour une histoire de décoration de l’église où je ne sais pas quoi… ça a l’air d’être un drame en tout cas ! Alors prend un air compatissant » dit Alex en rigolant.
« Alors, pas trop de stress ? demanda Tommy après avoir félicité son ami »
Les deux hommes se connaissaient depuis longtemps et Alex avait une tendresse particulière pour le jeune homme qu’il avait pratiquement vu débuter, dans la même académie que lui à Barcelone. Il se réjouissait que Tommy soit présent pour assister à son mariage.
« Pour une fois, tu es en avance petit ! Mon témoin n’est même pas encore arrivé. »
« Carlos m’a appelé, il est sur la route » déclara Tommy
« Et Mathilde ? Je croyais que tu viendrais avec elle. »
« Pourquoi ça ? On n’est pas… enfin, on n’est pas ensemble. »
« Je sais Tom, mais honnêtement, on voit pas bien la différence. »
« J’espère qu’elle a bien l’adresse… » ajouta Alex.

Il avait fait connaîssance avec la jeune femme dans des circonstances assez… spéciales. Lorsqu’elle avait 12ans, il en avait 24 et était déjà bien intégré sur le circuit professionnel. Lors d’une rencontre organisée entre deux ligues françaises, on lui avait demandé de venir remettre leur trophée aux vainqueurs. Etant à Paris, il avait tout de suite accepté. Seulement, la rencontre fut perturbée par un manque d’arbitres. Ainsi, les parents furent réquisitionnés. Tous ou presque jouaient le jeu. Mais il est bien connu que le sport de haut niveau compte quelques parents abusifs. Ce jour là, Mathilde affrontait une jeune anglaise et était arbitrée par les parents de cette dernière. Ceux-ci étaient très malhonnêtes et commettaient des fautes d’arbitrages flagrantes en faveur de leur fille. C’est alors qu’Alex, vit le jeune Française se mettre à aligner les doubles fautes en essayant d’allumer les parents au bord du court !!! L’espagnol était mort de rire. Il avait ensuite demandé son nom à la jeune fille et lui avait promis de ne jamais l’oublier. Il avait toujours été séduit par le fort caractère de Mathilde. Elle n’était ni violente ni provocatrice mais détestait l’injustice et était prête à défendre bec et ongles ceux qu’elle aimaient. Alex se souvenait encore de ce jour où Carlos Moya et Marcello Rios en étaient venus aux mains. IL en fallait pourtant beaucoup pour énerver Carlos et Mathilde le savait. Elle avait tenté de séparer les deux hommes. Rios l’avait alors frappée. Elle était tombée à terre. ¼ de seconde plus tard, elle était debout, marchait droit vers le Chilien et lui collait un crochet du droit en pleine figure ! Diagnostic : nez fracturé ! Carlos Moya déclare être toujours traumatisé ! Alex sourit en repensant à toutes les fois où Mathilde s’était levé pour défendre des causes perdues. Finalement, la jeune femme qui était présente à son mariage n’était pas différente de la gamine qui l’avait marqué il y a dix ans.


La cérémonie du mariage, fut suivie d’un repas et d’une fête en plein air. Il faut dire qu’en cette période de l’année, le temps était vraiment magnifique à Barcelone.
Des petits lampions de toutes les couleurs qui avaient été placés de façon à éclairer la piste de danse, donnaient à l’ensemble un côté féerique. Mathilde dégustait un verre de champagne lorsqu’elle sentit une main se poser sur son épaule :
« Tu danses ? » demanda Tommy
« Euh…oui. Mais toi, tu danses ? »
« C’est une grande occasion…. » répondit le jeune homme avec un petit regard malicieux.
La chanson I do it for you de Bryan Adams, résonnait, Tommy osait à peine poser sa main dans le dos de la jeune femme. Cependant, au fur et à mesure, il s’enhardissait et se rapprochait un peu plus. Mathilde ne pensait plus, n’entendait plus, elle se contentait de suivre les mouvements de son partenaire. Mais la chanson prit fin. Tommy murmura un bref merci et s’enfuit vite du côté d’Alex et de sa femme.

Un peu plus tard dans la soirée, Mathilde prit son courage à deux mains.
« Tommy, excuse moi, je n’ai pas réservé de chambre et je ne pense pas qu’Alex ait de place, avec sa famille…. Je pourrai dormir chez toi ? »
« …oui. Bien sûr, aucun problème. »
« Merci »

encore une fois lunandol c'est très bien écrit. bravo ! on apprend a connaitre "mathilde" de plus en plus, et c'est une fille marrante !

Citation :

La chanson I do it for you de Bryan Adams, .

j'adore cette chanson elle est très romantique ! mathilde va craquer obligé

Citation :

Je pourrai dormir chez toi ? »
« …oui. Bien sûr, aucun problème. »
« Merci »

alors la j'imagine la fin de la soirée lol ! c'est chaud !
je susi prète pour la suite

Citation :

alors la j'imagine la fin de la soirée lol ! c'est chaud !
je susi prète pour la suite

lol

l’église où je ne sais pas quoi… ça a l’air d’être un drame en tout cas ! Alors prend un air compatissant » dit Alex en rigolant.

méchant garçon lol

« Je sais Tom, mais honnêtement, on voit pas bien la différence. »
alors tommy ouvre les yeux, elle t'attend...
C’est alors qu’Alex, vit le jeune Française se mettre à aligner les doubles fautes en essayant d’allumer les parents au bord du court !!!
trop bon lol

Rios l’avait alors frappée. Elle était tombée à terre. ¼ de seconde plus tard, elle était debout, marchait droit vers le Chilien et lui collait un crochet du droit en pleine figure ! Diagnostic : nez fracturé ! Carlos Moya déclare être toujours traumatisé !
j'adore son caractère décidement...

un côté féerique. Mathilde dégustait un verre de champagne lorsqu’elle sentit une main se poser sur son épaule :
« Tu danses ? » demanda Tommy
La chanson I do it for you de Bryan Adams, résonnait,
moment magique a ne pas laisser échapper.

Un peu plus tard dans la soirée, Mathilde prit son courage à deux mains.
« Tommy, excuse moi, je n’ai pas réservé de chambre et je ne pense pas qu’Alex ait de place, avec sa famille…. Je pourrai dormir chez toi ? »
« …oui. Bien sûr, aucun problème. »
whaoooo; je suis encore plus impatiente de connaitre la suite mais ils ont interet l'un et l'autre a comprendre qu'ils sont faits pour être ensemble

Citation :

ils ont interet l'un et l'autre a comprendre qu'ils sont faits pour être ensemble

C'est une menace??? lol

Merci, j'adore tes coms !

Voici un chapitre décisif....


Chap 10 : Tu veux ou tu veux pas ?

Il était près de 6h du matin lorsque Mathilde et Tommy entrèrent dans le studio du jeune homme. C’était un studio assez petit mais bien décoré. L’ensemble assez sobre reflétait bien la personnalité de son propriétaire mais les nombreuses photos en noir et blanc mettaient un peu de vie. Ces photographies agrandies étaient des portraits des amis du jeune homme. Mathilde se rappelait la période paparazzi de Tommy. Il fallait reconnaître qu’il avait un certain talent. Son regard se posa sur la photographie accrochée sur le petit mur à côté du canapé. De dos, la tête tournée vers l’objectif, elle tirait la langue au photographe avec malice. Plus loin, elle aperçu un autre portrait qu’elle n’avait jamais. Elle se tenait sur une grande place, grelottant sous la pluie, ses cheveux mouillés encadrant son visage. Elle ne pouvait s’empêcher de trouver cette photo magnifique.
« Je suis désolé, c’est assez petit » dit-il.
Le studio, qui ressemblait plus à un loft ne comportait qu’une seule pièce. IL y avait un coin salon avec un canapé, plusieurs fauteuils…la cuisine sur la droite. Vers le fond de la pièce à gauche, se trouvaient deux petites marches qui séparaient, du moins symboliquement, le salon de la chambre.
« Prend mon lit, je dors sur le canapé. » déclara Tommy.
« Non ça va, je vais pas te chasser non plus ! »
« Mais non, tu ne me chasses pas. Je mets tes affaires dans la chambre. »

Mathilde ne dormait pas. Allongée, elle ne pouvait s’empêcher de penser au lieu dans lequel elle se trouvait ! Elle pensait à Tommy, se disant que s’il n’osait pas tenter quelque chose, elle allait devoir intervenir. Elle ne pouvait plus supporter cette situation. Et pourtant, elle avait peur, peur de ne pas savoir gérer ce qu’elle désirait le plus au monde. Elle s’assit dans le lit. Elle pouvait l’apercevoir, d’où elle était. S’il se lançait, se dit –elle, comment pourrai-t-elle résister ?

Tommy ne dormait pas. Il regardait la photo de Mathilde sur la grande place de Sydney. Il pensait à ces long mois, tout ce temps à espérer, à rêver d’une femme trop bien pour lui. Que pourrai-t-elle lui trouver ? Depuis quand durait cette situation ? Maintenant qu’il y pensait, il n’était pas sorti avec une fille depuis…depuis ce jour où il avait vu Mathilde pleurer, assise dans une petite allée de Flushing Meadows. Il lui avait parlé pendant des heures, la consolant, la faisant rire. Elle n’arrêtait pas de s’excuser. Elle était tellement belle.

****************************************

Mathilde ouvrit les yeux et regarda le réveil :12h. Elle jeta un coup d’œil, dans l’autre partie du loft.
« Tu es réveillée ? Ne bouge pas je t’apporte ton petit déjeuner. »
« Bonjour. »
« Bonjour » répondit l’espagnol en posant le plateau sur la table de nuit.
« Tu as bien dormi ? »
Mathilde ne répondit pas, frappée par la conversation. On aurait dit un vrai petit couple. Seulement voilà….
« Tom ? »
« Oui ? »
« Pourquoi on n’a jamais été ensemble nous deux ? » demanda t-elle prudemment
Tommy la regarda, surpris.
« je ne sais pas trop… » dit –il, « Je crois que c’est parce que je ne t’ai jamais attiré physiquement » dit –il précipitamment.
Mathilde ne savait pas très bien si elle devait rire ou pleurer.
« C’est ce que tu penses ? » demanda t-elle l’air ahuri.
« Oui, j’ai toujours été le gentil Tommy, très inoffensif. »
La jeune femme se pencha vers l’espagnol et l’embrassa. Surpris, le jeune homme répondit à son baiser. Ils ne pouvaient se séparer, leurs mains s’égarèrent et se posèrent sur la peau de l’autre… Finalement, ce fut lui qui rompit le contact.
« C’était quoi ça ??? » demanda t-il sous le choc.
« Je …je crois que c’était ma réponse ! » répondit Mathilde.
« J’ai pas très bien compris, tu voudrais me ré-expliquer ? »

***********************************

Mathilde était éveillée. Elle regardait Tommy dormir paisiblement. Elle était à la fois heureuse et pleine d’inquiétude. Est-ce que leur histoire pourrait suivre le rythme du circuit, survivre aux médias… Tout se bousculait. Tommy se réveilla, lui sourit et là, elle sut qu’elle n’aurait pas la force de revenir en arrière. Elle ne le souhaitait plus. Son envie d’être avec lui était bien plus forte que ses doutes. Le jeune homme lui prit la main, elle lui sourit et posa sa tête sur sa poitrine. Elle n’allait sûrement pas le lâcher !

Quelques minutes plus tard, Tommy était sous la douche lorsque le téléphone sonna. Il cria à Mathilde de décrocher.
« Allo ? »
« Je suis bien chez Tommy Robredo ? » demanda une voix qu’elle connaîssait bien.
« Oui, bonjour Juan… c’est Mathilde »
Il y eu un silence à l’autre bout du fil. L’espagnol se résonna et se dit qu’après tout, il était 17h, et il se pouvait que la jeune femme soit passée voir Tommy dans l’après midi. Mais, au fond, il n’y croyait pas. Il les avait bien vu danser ensemble cette nuit au mariage, et il était évident qu’il y avait bien plus que de l’amitié entre eux.
« Je peux parler à Tom ? »
« Il ne peut pas te répondre pour l’instant. »
Juan Carlos entendit soudain à l’autre bout du fil :
« Qui est-ce ? »
« C’est Juan ! », Mathilde reprit le combiné.
« Ne croit pas qu’il ne veut pas te parler, mais il est en train de prendre sa douche. »
« Ok, je rappellerai. Merci, à bientôt Mathilde. »

Le jeune homme raccrocha le téléphone, encore sous le choc. Cette jeune femme qu’il avait tant aimée, aujourd’hui avec son meilleur ami… Juan Carlos avait du mal à l’admettre. Il ne comprenait pas sa réaction. Cela faisait plusieurs années que son histoire avec Mathilde s’était terminée… Pourtant, il ne pouvait s’empêcher de ressentir un certain malaise.
C’est en colère contre Tommy, et en colère contre lui-même qu’il monta dans sa voiture.

trop bien lunandol comme d'habitude j'adore ! je suis contente que mathilde se soit enfin décidés a embrasser tommy ! le pauvre il était désespéré et il attendait que ca ! mainteant ya juan il est jaloux on dirait... mathilde je te souhaite bon courage pour réussir à gérer la situation !

Angèle, tu vas voir qu'une certaine personne va lui faciliter la vie!

Chap 11 : L’interview

Une jeune femme assise à la terrasse d’un café relisait ses notes. Journaliste pour un magazine sportif, elle venait de rentrer d’Argentine où elle était allée passer quelques jours dans sa famille. Elle avait passé toute son enfance dans ce pays d’Amérique du Sud, le pays de sa mère, avant de s’installer en France, son pays natal. Elle lut pour la dixième fois, les notes que lui avait laissé son collègue avant de partir à la retraite. « Juan Carlos Ferrero : Espagne. Jeune homme gentil, poli. Mais : secret, peu souriant et déteste les journalistes ! » « ça promet ! » se dit Angèle. Encore, un jeune prétentieux qui se prend pour une star ! La jeune femme regarda sa montre, cela faisait bientôt une demi-heure qu’elle attendait le champion espagnol pour une interview. Angèle venait de trouver cet emploi qui lui convenait à merveille et n’avait pas besoin que des caprices de stars, ruinent son travail et anéantissent les espoirs que son patron plaçait en elle.

Elle aperçut un beau jeune homme blond s’approcher. Il avait le regard sombre et semblait de très mauvaise humeur… Angèle se dit qu’il ne lui faciliterait pas la tâche !
« Bonjour, je n’ai pas beaucoup de temps. »
« Bonjour. »
L’interview se déroulait en anglais. Angèle demanda la permission d’utiliser un magnétophone, l’espagnol accepta.
Elle tenta péniblement de le mettre à l’aise mais rien à faire, il ne desserrait pas les dents. De plus en plus agacée, Angèle changea l’orientation des questions et se fit plus dure. « Je vais te donner une bonne raison d’être énervé… » se dit –elle.
« Vous avez considérablement baissé au classement l’année dernière. Ces derniers temps, vous sembliez revenir à un niveau plus proche de celui qui était le votre auparavant, cependant, depuis quelques semaines, vous semblez stagner, on a l’impression que vous ne retrouverez jamais votre niveau…. »
« Cela vous fait quoi de passer du statut de meilleur joueur du monde sur terre battue à un joueur quelconque que tout le monde peut battre ? »
Les questions s’enchaînèrent dans un climat franchement hostile. L’espagnol répondait par un mot ou un vague signe de tête. Oubliant totalement qu’elle était sensée écrire quatre pages avec cette interview, elle s’écria :
« Pourquoi êtes vous venu ? » « ça vous amuse de faire perdre leur temps aux gens ? »
« Oh, on se calme !!! » répondit –il en la fusillant du regard.
« Et vous, ça vous amuse d’agresser les gens sans raison ? » ajouta-t-il.
« Sans raison !!!!!! » « Vous n’êtes qu’un sale con prétentieux et le pire c’est que vous n’en avez même pas conscience ! »
Le jeune homme répliqua. Il était debout désormais, le regard noir, ses mains cramponnées à la table exprimaient sa rage.
C’était un véritable règlement de compte. C’était à qui blesserait l’autre le plus rapidement, à qui crierait le plus fort.
Soudain, au milieu d’une phrase, Angèle se mit à lui crier dessus en espagnol. Il est vrai que l’espagnol était sa langue maternelle et que lorsqu’elle était en colère elle ne pouvait s’empêcher de revenir à cette langue. Elle réalisait ses interviews en anglais pour pouvoir facilement établir une concertation avec ses collègues.
Juan Carlos Ferrero qui allait répondre s’arrêta. Les deux jeunes gens se regardèrent, encore bouillant de rage… et furent pris d’un fou rire incontrôlable ! Ils ne pouvaient plus s’arrêter. Juan Carlos s’était rendu compte qu’il était en train d’hurler après une fille qu’il ne connaissait même pas. En tout cas, elle avait l’air assez susceptible !!! IL faut reconnaître qu’étant préoccupé par la relation de Mathilde et de Tommy, il n’avait pas été particulièrement aimable.
Quand le fou rire cessa, ils s’observèrent. La jeune femme reprit en faisant semblant d’être toujours en colère. Ses yeux riaient et le jeune homme entra dans le jeu.
« J’aurai besoin d’une fiche signalétique »
Elle énuméra sèchement : « date de naissance ! »
« 12 février 1980 »
« taille ! »
« 1, 83 m »
« poids ! »
« 72kg »
« Numéro de téléphone ! »
« 912 45 54 55 »
Juan Carlos prit soudain conscience de ce qu’elle venait de lui demander. Alors, il la regarda droit dans les yeux, impassible et lui dit :
« ou : 06 05 04 03 02… »
Ils échangèrent un dernier regard et il partit.

J'ai oublié de préciser que ces numéros n'étaient que pure imagination!
Désolée les filles lol

Citation :

« Bonjour, je n’ai pas beaucoup de temps. »

sympa pour commencer

Citation :

« Vous avez considérablement baissé au classement l’année dernière. Ces derniers temps, vous sembliez revenir à un niveau plus proche de celui qui était le votre auparavant, cependant, depuis quelques semaines, vous semblez stagner, on a l’impression que vous ne retrouverez jamais votre niveau…. »
« Cela vous fait quoi de passer du statut de meilleur joueur du monde sur terre battue à un joueur quelconque que tout le monde peut battre ? »
Les questions s’enchaînèrent dans un climat franchement hostile.

c'est vrai que c'est très sympa...

Citation :

« Vous n’êtes qu’un sale con prétentieux et le pire c’est que vous n’en avez même pas conscience ! »

mdr eh bien au moins elle dit ce qu'elle pense...

Citation :

C’était à qui blesserait l’autre le plus rapidement, à qui crierait le plus fort.

mdr

Citation :

Les deux jeunes gens se regardèrent, encore bouillant de rage… et furent pris d’un fou rire incontrôlable ! [...] Quand le fou rire cessa, ils s’observèrent. La jeune femme reprit en faisant semblant d’être toujours en colère. Ses yeux riaient et le jeune homme entra dans le jeu.

coup de foudre en approche

Citation :

« Numéro de téléphone ! »
« 912 45 54 55 »
Juan Carlos prit soudain conscience de ce qu’elle venait de lui demander. Alors, il la regarda droit dans les yeux, impassible et lui dit :
« ou : 06 05 04 03 02… »

si ca c'est pas une demande claire...

Citation :

Ils échangèrent un dernier regard et il partit

ben voila je sens qu'il vont se revoir...

Citation :

Angèle, tu vas voir qu'une certaine personne va lui faciliter la vie!

lol ! eh eh it's me ?

Citation :

« Juan Carlos Ferrero : Espagne. Jeune homme gentil, poli. Mais : secret, peu souriant et déteste les journalistes ! » « ça promet ! » se dit Angèle. Encore, un jeune prétentieux qui se prend pour une star !

j'aurais été capable de dire ca si je connaissais pas juan ! lol c'est clair qu'il est secret juan. mais je te rassure juan t'es pas prétentieux !

Citation :

Angèle venait de trouver cet emploi qui lui convenait à merveille et n’avait pas besoin que des caprices de stars, ruinent son travail et anéantissent les espoirs que son patron plaçait en elle.

c'est vrai ca alors juan magne toi stp !

Citation :

Elle aperçut un beau jeune homme blond s’approcher.

je confirme, très beau jeune homme ...

Citation :

Elle tenta péniblement de le mettre à l’aise mais rien à faire, il ne desserrait pas les dents. De plus en plus agacée, Angèle changea l’orientation des questions et se fit plus dure. « Je vais te donner une bonne raison d’être énervé… » se dit –elle.

oh c'est qu'il a du caractère le juanqui ! ca tombe bien, moi aussi ! il va y avoir bagarre ...

«

Citation :

Vous avez considérablement baissé au classement l’année dernière. Ces derniers temps, vous sembliez revenir à un niveau plus proche de celui qui était le votre auparavant, cependant, depuis quelques semaines, vous semblez stagner, on a l’impression que vous ne retrouverez jamais votre niveau…. »

«

tiens prends ca juan! ( je suis désolé ...)

Citation :

« Pourquoi êtes vous venu ? » « ça vous amuse de faire perdre leur temps aux gens ? »

punaise j'y vais pas par quatre chemins ... je vais me prendre une baffe, je vais rien comprendre ! lol

Citation :

Vous n’êtes qu’un sale con prétentieux et le pire c’est que vous n’en avez même pas conscience ! »

angèle calme toi stp !!! t'es en train de parler a juan !

Citation :

Le jeune homme répliqua. Il était debout désormais, le regard noir, ses mains cramponnées à la table exprimaient sa rage.
C’était un véritable règlement de compte. C’était à qui blesserait l’autre le plus rapidement, à qui crierait le plus fort.

j'ai peur

Citation :

Angèle se mit à lui crier dessus en espagnol.

faut pas me chauffer, compris ? lol

Citation :

et furent pris d’un fou rire incontrôlable !

Citation :

. En tout cas, elle avait l’air assez susceptible !!!

moi ? non ;..

Citation :

« Numéro de téléphone ! »
« 912 45 54 55 »
Juan Carlos prit soudain conscience de ce qu’elle venait de lui demander. Alors, il la regarda droit dans les yeux, impassible et lui dit :
« ou : 06 05 04 03 02… »
Ils échangèrent un dernier regard et il partit

j'ai le portable de juan !!!! je sens qu'on va bien s'entendre tout les 2 ! et comme tu le dis melyn j'espère que angèle va le revoir

en tout cas lunandol j'adore vraiment. en plus sans le savoir tu as souligné quelques traits de mon caractère. c'est génial je sais pas quoi dire merci